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Hum.

24 janvier 2010

Fin. (Une impression de déjà-vu.)

Ou pas, donc. Et que le lumière vous guide, païens.
Sortez de ma maison maintenant.

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21 octobre 2009

Je suis atteint par une maladie qui n'existe pas.

Ou alors, si, mais elle n'est pas considérée comme telle : la randomite.
En quoi consiste-t-elle ? C'est simple. Par exemple, prenons un monde imaginaire, où l'on peut se représenter un personnage, mais un seul. Dans l'genre, Kraland, pour ne rien nommer. Le malade jouera un personnage, pendant une semaine, soyons fous, deux. Puis, il se lassera. Il changera de personnage, recommencera à zéro. (Un type normal peut garder son personnage plusieurs années. John Edward Baptist MacTaghart I, pour ne pas l'nommer.)
Non, je vous rassure, je n'en fais pas de même avec ma vie. Quand même pas, non. Pas complètement frappadingue non plus.
Mais, et là, ça vous concerne : avec mes blogs, oui, j'ai la randomite.

Que faire, donc ? En créer à chaque fois un nouveau ? C'est sûr, le nouveau crée l'inspiration. Mais encore faut-il avoir la motivation ... Mais il est beau, ce blog. J'veux l'garder, un peu.

Braÿph'_! Soyons donc dingues : combattons la maladie.

Il me faudra donc un médicament, ou pas : "les antibiotiques, c'est pas automatique". Un traitement, donc. Une marche à suivre. Commencer par trouver quelque chose à raconter ...
J'vais ressortir mon vieux calepin. J'vais prendre des notes sur ce que je vois d'original, tous les jours. en fin d'journée, j'pourrai bien avoir quelque chose à broder entre ces éléments-là ... Commençons donc.

J'vous tiens au courant ;)

15 septembre 2009

Une deuxième fois, sans savoir exactement pourquoi ...

On peut plus vraiment penser le monde après tout. Et c'est assez difficile de prédire l'avenir. Pourtant j'ai pensé, beaucoup (comprendre : suffisamment), même en deux heures.
Cette histoire. (Non, pas ENCORE.)
Enfin. rien n'a jamais plu au diable qui ne saurait faire faire marche arrière au devin qui joue la fin du monde.
Jeu. En voilà des manières ! Écrire pour ne pas boire, en somme. On aurait pu y échapper, et non. Fichu cours de littérature.


Nothing can help us now but I'm not here to think, or to agree with myself. Instead, I'll be there, in that Bubble, in this life, in those days which aren't so deadly bad ...

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And, in my land, in my place, I'll study how to write, to get closer with my star. And smoke, shame on me if you don't, before life burns and smokes you. I'd like to remember.
And then I see eyes that I haddn't seen for months. And I'm old, but here I am. I didn't change, but I'm more than happy yet.


Décor, et rien de plus. Là, on pourrait se demander, vraiment sérieusement, si on est obligé de se sentir frustré par la Vie. Mais parfois, c'est beau ! Parfois la Vie se change en guimauve qui coule, coule ...

Là. Un décor suffisant pour penser en marchant, sans regarder où l'on met les pieds. Et la Lune qui nous guide et si on devait s'arrêter là, on aurait fui. Loin.
Alors pour rester là tout de même, on s'invente un signe ... Mais j'en ai toujours pas trouvé.

14 septembre 2009

Ma plume divague ...

... et à vrai dire, c'est un stylo quatre couleurs, bloqué en position Noir. Je suis en cours de philo, là, et je m'ennuie, alors j'écris. Un mot d'ordre : pas de guimauve sur ce blog.
Donc, racontons une histoire. Une histoire toute simple, gentille ... mais qui fait réfléchir. Une histoire avec seulement deux personnages, mais un seul caractère. C'est l'histoire de l'Homme et de son Alter Ego.
Rien ne sera jamais plus clair, plus simple, plus concis et plus explicite, que le titre de cette histoire : "La nouvelle conscience qui nous venait du passé."
L'Homme était sur la Terre. Son Alter Ego le suivait depuis Amont, les nuages. L'Homme normal restera sur Terre. Sur Amont, ne sont que les bons, et les mauvais dans Aval. Tomber, et c'est fini. Marcher sur la Terre, en équilibre. Ne pas se sentir trop haut pour ne pas finir trop bas. L'Alter Ego était depuis la naissance sur Amont, et de sous Aval observaient des Démons. Amont et Aval, séparés par la Terre, elle qui se bat contre et avec elle-même et ne s'en rend même pas compte. Le Problème : à la bonté descendront des Génies, à la torture monteront des Diables. Et la Terre qui est aveugle et qui ignore ce combat implicite ...
L'Alter Ego de l'Homme descendit quand l'Homme offrit son Coeur pour la Vie d'un Autre. Le Génie rendit la Vie et rendit le Coeur. Il fondit en larmes, et s'écroula. Son aura bleue était salie par la poussière, mais il était impressionnant de majesté tout de même. Puis, il entra dans l'Homme car il ne lui restait plus rien, et l'Homme eut dans ses yeux cet air de malice, et ce bleu enchanteur démontrant la sagesse de l'innocence. Enfantin, il était voué à une éternité de bienfaits, il avait sauvé la Vie. Il connaissait le Problème et comptait le résoudre.
Mais le fond d'Aval eut raison de lui. Il fut sacrifié et dut trouver la Mort.Mais avant son arrivée, il rencontra un garçon, à qui il parla :
"Je ne suis plus ici pour longtemps mais j'ai cru comprendre que la Vie ne m'en voulait pas. Je tiens à signaler mon indépendance mais j'aime trop la Terre ... Je vais fermer ces yeux, pour la toute dernière fois, mais je souhaite te transmettre un sourire."
Il l'embrassa.
"Ce sourire, garde-le à jamais. Fais cela pour moi, il t'en sera rendu. Mais n'oublie pas de partager, jamais."
Et l'Homme trouva la Mort. Il sauta du pont et disparut dans l'eau, fluide, et la Vie s'embrasa, et il en fut fini de toutes les inégalités pour cette Terre.

13 septembre 2009

Réminiscences

Revenir, seul, à l'époque silencieuse où tous les faux-semblants de tristesse de la nature passaient pour barbarismes. S'assoir sous un chêne et finir sa cigarette. Rien que la pensée fait revenir en arrière, et le rêve fait oublier. Le futur devient présent, le présent n'existe déjà plus ...
Et redéfinir la conscience, à jamais inexistante.

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Au dessus de tout ça ? Une Bulle ...

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13 septembre 2009

Chez le médecin - vendredi 4 septembre

Ces deux personnes sont mariées, leur alliance brille à la lumière. Ils sont avec moi dans la salle d'attente et il ne leur reste plus que la promesse mutuelle d'être en vie. Sa barbe blanche parle sur sa vieillesse, et il ne semble pas malade. Pourtant, ce sont deux individus normaux ; elle parle de tout et de rien, sans intérêt quelconque à la tâche, et il répond. Grandiloquente intelligence ...
Ils ont connu Celui-qui-Fait. Ils L'ont vu - du moins, lui L'a vu ; elle, simplement, l'accompagne et le croit fou à lier, et c'est pourquoi ils sont ici. Elle profite d'un rappel de vaccin pour le montrer, tel un fauve ... Un hasard si nous sommes dans la même pièce.
Celui-qui-Fait, c'est l'Autre. L'homme aveugle qui conte des histoires pour les enfants et fait naître en eux la compassion. Il est grand et puissant, paraissant sénile et incapable ... Le pouvoir de sa parole est si grand que cela en devient naturel pour qui n'a pas l'œil.
Cet homme L'a donc vu à l'œuvre. Stopper les larmes pour faire place à un rire : une vocation digne de ce nom.

 

Mais personne ne le croit - à commencer par sa femme.

8 septembre 2009

Ombre

Écrivons, dessinons le monde à la plume de notre stylo, buvons l'encre jusqu'à plus soif et profitons tant qu'il en est encore temps ... Et racontons, autant exploiter mes souvenirs avant de les oublier. Aujourd'hui, je vais vous parler des Autres. Depuis tout petit, je me pose des questions sur les Autres. Comment est-il possible que quelqu'un d'autre que moi puisse être capable de penser ? Pourquoi les écritures de chacun sont-elles différentes ? Tant de questions sans réponses.
J'ai lu un livre - Le bizarre incident du chien pendant la nuit, de Mark Haddon - et je me suis reconnu à Christopher. Il ne savait pas que sa conscience n'était pas seule ... Un exemple : on lui présente un boîte de smarties. On lui demande ce qu'il y a dedans, il répond, évidemment, "Des smarties". Ouvrant la boîte, l'éducatrice en sort un crayon. On lui pose une question : "Si ta maman était là, et qu'on lui posait la même question, que répondrait-elle ?" Chrisopher répond : "Un crayon."
Voilà, je m'y reconnais.

 

Et donc, non, je comprends rien à la conscience, j'crois que ça fait partie de la notion d'être. Enfin, là, ça va mieux. Je commence à comprendre, ou tout au moins à accepter les réactions des Autres. Et quand je ne comprends pas, je m'en complais, je leur invente une histoire. Par exemple, j'ai vu un garçon, dans la rue. Le sosie craché de Stan. J'ai pensé à ce garçon, je lui ai créé sa vie, le pourquoi de son regard ...

 

Enfin, je suis en mode "promesse de futurs articles", là, alors je pense que cette catégorie racontera l'histoire des gens qui passent ... Et cet article est l'premier. Faut bien une introduction ...

4 septembre 2009

"Je savais pas où écrire, alors j'ai écrit là."

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Une histoire, avec des mots les uns à la suite des autres pour former des phrases.

C'était un chat. Un chat noir, maladif, avec un œil crevé, une patte cassée qu'il traînait derrière lui. Un air décharné. (Oui effectivement ce chat commence bien sa vie hein, il a tout pour plaire.)
Ce qu'on ne sait pas, c'est que ce chat avait une foule d'amis. Pleins. Des beaux chats blancs, aux poils soyeux et lustrés, presque gros tellement ils mangeaient. Il était amis avec des chats roux, des chats gris, des chats tigrés. C'était pas un chat raciste.
Et puis il avait un ami, un de ces chats blancs, fils de riche, le genre de type à porter une énorme montre à la patte, une montre en or. Sauf que la sienne était en argent, parce qu'il avait un minimum de modestie. Ce chat-là, il était vraiment perturbé. Il se posait des questions, sur la vie, sur sa situation, sur ses sentiments, ceux des autres, leurs réactions. Du coup, il avait l'air étrange, à observer les autres de cette façon. Le chat noir s'en foutait, ils étaient amis, et puis après tout il aimait tout le monde. Mais les autres chats, eux, en avaient quelque chose à faire. Ils le rejetaient. Pourtant, ce chat blanc était très gentil, ça le chat noir le savait bien. Mais voilà, il se posait trop de questions. Et chez un chat, c'est tellement étrange...
Un jour, il arrêta tout. Il arrêta de se poser ses questions, il arrêta son amitié avec le chat noir, il jeta sa montre dans un fleuve. Il fumât de l'herbe à chat, qui était illégal dans ce monde. Bad trip. Il vît un chat rose à rayures, avec un grand sourire. Ce chat lui dit :
"Si tu continues à te poser tes questions, c'est dans un caniveau que tu finiras. Pas entouré. Parce que c'est ce que tu veux, être entouré de chats. Mais on sait tous les deux que ça n'arrivera pas. Alors réveille-toi, et agis."
Et effectivement, il agit. Il bouffa de la mort aux rats. Et s'en fût fini du chat blanc, un peu bourgeois, un peu fou. Là, les chats commencèrent à le regretter. Le chat noir en premier, évidemment, il le connaissait assez pour l'apprécier. Mais ceux qui ne l'appréciaient pas aussi. Alors par delà la mort, le chat blanc se sentit apaisé...

'Milly.

2 septembre 2009

L'éclate totale.

43501302(Photo de Milly )

 

"Entre ce mensonge quotidien et la promesse d'une vie qui dure, il ne se trouve plus de place pour moi. Pourtant, c'est stupide ... Que vouloir de plus ? Une limousine, pour se cacher dedans, peut-être ..? Ou une boite magique qui permette à un junkie de retrouver sa foi perdue ? Ça se pourrait bien."
Oui, ce genre de réflexion me venaient à l'esprit, souvent. Plus à l'écrit qu'à l'oral, d'ailleurs. Bah, même si je raconte tout dans ses moindres détails, ma vie ne ferait qu'une courte nouvelle au vu de ma défaillante mémoire de poisson rouge asthmatique ... Les poissons rouges aussi, allez savoir pourquoi. Et de toute manière, je crois avoir promis que ce blog ne serait pas un repère à mon désespoir. Parce que ça donne un truc informe, par exemple, mon ancien blog ... Et surtout parce que c'est pas vraiment le moment, je vais Bien, merde, quoi ! En ce moment précis, j'ai un grelot qui tinte dans ma cage thoracique, et mes pensées se perdent dans la chevelure noire d'Emilie.
Encore une fois, faut spécifier : ce blog n'a pas de contours roses, donc ça sera pas de la guimauve de long en large. Ceci étant dit, passons aux choses sérieuses. si vous aimez lire, vous lisez : c'est bien, j'vais pouvoir entamer une présentation d'moi-même ...
J'm'appelle Maxime. La moitié des gens qui me connaissent m'appellent Richard, ou les dérivés, Ricardo, etc. J'suis né le 11 mai 1992 à 6h33 du ventre de ma maman, mais ça, à la limite, on s'en tamponne l'oreille avec une babouche. Non, vous n'aurez pas de détails. Non, vous ne saurez pas que j'ai dégueulé sur le médecin à la naissance. B R E F) J'suis né en Bretagne, à Rennes précisément, mais mes parents se sont auto-délocalisés à Voiron - une sombre histoire de recherche de boulot ... Donc, ma vie est ici, à Voiron. (C'est en Isère, bande d'ignares. pas loin d'Grenoble.) Je promets solennellement que je ferai à l'avenir un article sur c'te ville qu'elle est chouette. Avec des photos. Plein. Et un autre, pareil, sur mes amis. Et sur moi, pas la peine, ce blog est sur moi. Non, c'est pas de l'égoïsme, juste Internet me sert de psy, en c'moment, 'fin, comme toujours. Ma vie, puisqu'il faut parler de ma vie, se résume à plusieurs choses.

 

  • Emilie, que j'vous présenterai dans un article. Futur proche.
  • La musique. Là, ça devient plus compliqué, il va falloir que je rajoute des détails ... Alors.
    Je fais du violon. J'ai commencé à six ans, un an après avoir commencé le solfège. solfège que j'ai fini normalement, c't'à dire en retapant une année et en y passant neuf ans au total, sans interruption ... (Quand on a fini, on est soulagé. On brûle son cahier. Maintenant j'regrette.) J'ai été moins régulier pour le violon, par contre. Manque de motivation ... Après quatre ans de cours, j'ai arrêté un an, puis j'ai repris un an, puis j'ai arrêté et j'ai repris l'année suivante avec des "cours" avec un professeur de clarinette ... et je crois que c'est à ce moment-là que ma motivation est revenue : j'ai appris à improviser. En plus, à ce moment-là, j'émergeais tout juste de ma période d'asocial qui a commencé à ma naissance avec une ardente timidité. Donc, il m'a fallu moins d'un an pour me rendre compte que je peux m'assumer violoniste, et me dire que non, tout n'est pas impossible, non, c'est pas ringard, etc. /me s'est donc acheté un micro pour son violon. /me a commencé à jouer en salle de musique, même si /me ne se souvient plus de la première fois. Bref. Je rencontre Emilien, je me retrouve je ne sais plus comment dans un super groupe. une histoire qui commence, une belle histoire ... J'ferai plus tard un article dessus. Promis.
    Et je crois que c'est tout ... Ah non.
  • J'fais du basket aussi, je joue et j'arbitre, en ce moment, c'est ma source de revenu numéro un. Parce que l'argent, c'est cool. Accessoirement. 'fin, c'est surtout indispensable pour un fumeur. En fait. Surtout moi.

J'pense que c'est bon pour ce premier article de second blog ...

J'ai bien fait
de me motiver, comme ça la
rengaine a commencé.
Et Bob est ton oncle.

Voilà sera le mot de la fin. Ou alors, j'en ai un mieux :

FLAN.

Ps: vérité sur ce premier article.
Il est une heure du matin à l'heure où j'écris cet article sur mon calepin. Le 2 septembre. Dans huit heures, je rentre en Terminale - L option Anglais - et comme chaque année avant la rentrée, j'arrive pas à dormir. Cette année, j'écris, et j'aime bien. Là, j'ai fumé une clope, du coup j'vais essayer de dormir.
edit: j'ai dormi.

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Hum.
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